Aller au contenu principal

Sauvons la Tridaine

Anciennes actions

Petit rappel du projet de Lhoist

Dans moins de 10 ans, le permis de la carrière de la Boverie sur le Gerny, prendra fin. Ce qui signifie la fermeture de la carrière. Pour quand même poursuivre l'activité pendant 20 ans après cette échéance, Lhoist propose de creuser plus profondément. Actuellement cela est impossible en raison de la présence d'une nappe aquifère qui sert à alimenter les robinets d'une partie de Rochefort et à fabriquer les trappistes de Rochefort, via un captage à la source de Tridaine. Pour contourner cette interdiction, Lhoist propose de pomper l'eau qui le gêne et de la restituer au réseau, avec une qualité au moins aussi bonne si pas meilleure. Lhoist doit encore faire des tests pour vérifier que c'est faisable, en réalisant un pompage plus faible et tester le système.

Historique:

En 2013, une première demande de permis a eu lieu, accordée à Lhoist, puis retirée sur recours par le Ministre Philippe Henry. Une autre demande a été réalisée début 2017, nous avions remis un avis négatif lors de l'enquête publique. Le permis unique a été accordé à Lhoist en juin 2017, et Natagora Famenne, actif au sein du Comité source Tridaine avec d'autres associations et des citoyens de la région, a introduit un recours contre cette décision. La Région wallonne a 3 mois pour remettre son avis au Ministre de l'Environnement Carlo Di Antonio.

Notre avis est repris en annexe.

Arguments contre le projet :

A l'époque où nous avons introduit notre recours (juin 2017), la commune de Rochefort était confrontée à une situation particulière de pénurie d'eau, qui a mis en évidence le risque qui pesait sur notre nappe aquifère: En effet nous avons vécu de longues périodes de sécheresse les 11 mois qui ont précédé, et cela a limité la recharge de bon nombre de nappes aquifères. Les tests de pompages prévoient le pompage de l’eau de la nappe de la Boverie, qui alimente Tridaine, pendant une période donnée pour ensuite diminuer le pompage lors de la saison pluvieuse qui réalimenterait progressivement la nappe jusqu’à son niveau normal. Lhoist industrie avait introduit une demande en novembre 2016, annulée après l’enquête publique pour réintroduire une nouvelle demande prenant en compte la faible pluviométrie de l’époque.

Or depuis, la situation a encore empiré, la sécheresse s’est poursuivie. Le modèle prévu dans le permis octroyé est-il réaliste et adapté à la situation actuelle, liée au réchauffement climatique et susceptible de se reproduire de plus en plus?

De plus, si ces conditions venaient à se reproduire plus fréquemment, la nappe de la Boverie retrouverait-elle le niveau optimal qu’on lui connaît à l’issue des tests de pompage ? La réversibilité des tests nous semble très compromise, et hypothéquée. Le débit de pompage choisi pour les tests et pour l’approfondissement éventuel est élevé et donc beaucoup d’eau serait gaspillée. Nous sommes en droit de craindre un épuisement de la nappe, d’une part par les sécheresses successives et par des pompages inconsidérés.

Le projet d’approfondissement du carrier, accompagné par une « sécurisation de l’approvisionnement en eau de la commune et de l’Abbaye » nous paraît s’écarter de la réalité. Comment faire croire que grâce aux pompages il y aura de l’eau en abondance alors qu’on videra année après année la « baignoire » (dixit Lhoist) que constitue la nappe aquifère. La situation actuelle de pénurie d’eau nous prouve que le modèle de Lhoist est une menace pour la nappe.

Voici en résumé, nos autres arguments contre ce projet :

L’eau qui est gracieusement donnée à Rochefort actuellement par les moines, sera gracieusement donnée par Lhoist : on confirme sa privatisation, or l’eau est sensée être un bien commun, un bien PUBLIC ;

  • On ne sait pas si les tests seront réversibles : on est dans un zone karstique (grottes) donc instable (possibles effondrements avec changement de conditions dans la roche) avec possible développement de bactéries, champignons ou minéralisations (passage d’un milieu actuellement sous eau à l’air libre) ; le retour sous l’eau après les tests va « lessiver » tout ça : conséquence sur la qualité ? => il faut respecter le principe de précaution !
  • Si les tests montrent que le système ne peut pas marcher, il sera peut-être trop tard, le mal sera peut-être déjà fait (qualité de l’eau moins bonne qu’avant, effondrements avec des conséquences irréparables, etc…)
  • On va faire baisser le niveau de la nappe de 5 mètres : il y a un risque d’impact pour la végétation tout autour (risque hydrique) ;
  • Il faut réaliser des travaux, même « limités » en plein dans des sites naturels de grande valeur => quel impact sur la biodiversité et les sites naturels ?
  • Si une pollution ou un accident se produit et qu’on doit arrêter le pompage : risque de tout ruiner, à cause d’une inondation de la carrière (fini l’eau potable) ou bien parce qu’on ne peut pas régler la pollution ;
  • Aujourd’hui on utilise l’eau qui « déborde » d’une « éponge » (la roche) pleine d’eau, ce qui laisse la nappe bien stable. Avec les pompages, on va chercher de l’eau beaucoup plus profondément dans l’« éponge », ce qui va provoquer des circulations d’eau qu’on ne connaît pas et tout déstabiliser dans la roche
  • Aujourd’hui, la qualité est ok pour l’eau du robinet et pour fabriquer la bière. Avec ce système, on devrait triturer la nature pour obtenir de la bonne eau : adapter la quantité d’eau qui vient d’un forage, celle qui vient d’un autre, pour avoir une eau plus ceci ou plus cela (sulfates, nitrates)
  • La demande de permis n’analyse pas tous les impacts que les tests pourraient avoir sur l’environnement !

Au-delà des tests, nous sommes contre l’approfondissement envisagé parce que

  • destruction irréversible de la source de Tridaine telle qu’on la connaît : on ne pourra plus jamais s’arrêter de pomper, sinon la carrière se remplira, et l’eau ne sera plus potable ;
  • mise en place d’un système très énergivore : pompages profonds, gros débits, éternellement… alors qu’aujourd’hui l’écoulement est naturel avec ensuite pompage classique vers château d’eau ;
  • on promet la pérennisation (financement) du système pendant 100 ans : déjà dans 30 ans, Lhoist sera parti : qui va gérer ? Et après 100 ans ? la commune n’a pas les moyens de prendre ça en charge ;
  • si on constate un mélange avec les eaux du ruisseau de l'Entre-Deux-Falleux, il faudra le canaliser pour éviter ça : on détruira là aussi un système naturel.

DE PLUS, DANS 10 OU 30 ANS, LA CARRIERE FERMERA. IL FAUT REFLECHIR A LA RECONVERSION DES TRAVAILLEURS ! On ne parle pas que de l’exploitation de la pierre ou de l’eau, on parle aussi du travail d’une centaine de personnes de notre région !

Voici le lien vers le clip des Samuraïs des ID eaux "Touche pas à la Tridaine" : https://www.youtube.com/watch?v=THTu4EEguLw.

Et également les paroles: TOUCHE PAS A LA TRIDAINE

Dame nature est si belle, au paradis des moines

Que j’y plonge mes rêves et mon âme

 

Refrain :

Plonge-la ta tête!                 Dans le ruisseau (choeur) 4x

L’eau coule à flot... 3x

 

Ouais salut moi c’est Simon Pierre,

Je fais carrière dans la Carrière de pierre

J’éclate du calcaire avec mon Montabère

Comme le faisait mon père

Ainsi que mon arrière grand-père

Qui participèrent à bâtir le monastère

Et laisse moi aussi te présenter mon frère

Bonjour, je me nomme frère Albert

Je suis moine trappiste je brasse de la bière

Même si ça n’en a pas l’air

Entre moi et mon frère c’est la misère, on rame dans la même galère

On rame dans la même galère, on rame dans la même galère,

On rame dans la même galère

Je veux pas perdre mon boulot

Je veux pas perdre la source où coule l’eau

Ce qui nous rassemble a du culot

Ne pas être idiot

On va pas creuser la carrière et faire de la sale eau

On est pas des salauds.

Refrain

Ok parait que le carrier payera l’eau pendant 100 ans

Et qui payera l’eau de nos arrières petits-enfants?

Tant de tracas pour de la pierre qu’on transforme en or blanc

Et pour une entreprise qui durera encore à peine 30 ans

Tout sera bouzillé, supprimé

Déprimé, restera que des regrets

Car en vérité

Pour une éternité La Tridaine ne pourra plus couler (2X)

Nous on tient les rênes de notre Famenne

Alors carrier je te préviens

Touche pas à la Tridaine

T’as oublié ta race ou quoi, Man?

Nous c’est la race humaine

Des blancs, des noirs, des jaunes, des rouges

Le même sang coule dans nos veines

En vain l’eau coule toujours des veines de la mer

M’enfin carrier, tu vas pas mettre un baxter électrique à la carrière

Ceux qu’on représente te souhaitent de poursuivre plus loin ta carrière

Et de trouver autre part des veines de pur calcaire

Merci pour tout!

Pour tout ce que t’as fait pour nous

Et mais maintenant c’est tout!

La Tridaine c’est notre emblème

Refrain

Dégueulasse mais!

On a besoin de l’eau pour éteindre le feu vorace

Qui consumme l’âme des fortunés rapaces

Nous serons tenaces, efficaces

Parce que si sur ce coup là on est pas des as

Nous ne serons plus jamais forts de la même eau à Rochefort en terrasse

Nous ne voulons pas que la dernière goutte d’eau que tu verras

Soit la dernière larme que tu verseras

Nous ne le voulons pas (2X)

Et sachez que nous n’avons rien contre Lhoist Léon!

Avec sa chaux, on peut bâtir nos maisons sans béton

Fabriquer de l’acier pour les outils du potager

Modifier le PH du fumier pour les cucurbitacés

C’est chaud! Manipulation! On veut nous faire chanter

Chantage! On voudrait qu’on choisisse entre la trappiste ou le parti travailliste!

Diviser pour régner, c’est pas la notre piste

Etant optimistes

C’est la paix qu’on mise

Alors enfin on s’organise

On s’est fédéré

Nos forces se sont unifiées

Pour libérer l’eau!

Avec les peuples du monde entier (2X)

Dans le Nord et dans le Sud!!

Refrain :

Plonge-la ta tête!                                Dans le ruisseau (choeur) 4x

L’eau coule à flot...          3x                 Dans le nord et dans le sud!

Dame nature est si belle, au paradis des moines

Que j’y plonge mes rêves et mon âme

En prolongation du Festival du film "A travers Champs", le Comité Source Tridaine organise, en collaboration avec le Centre Culturel des Roches, une réunion-projection du magnifique film "Même la pluie" (Tambien la lluvia) de Iciar Bollain, avec Gael Garcia Bernal, qui nous permettra d'aborder la question de l'eau en tant que bien commun.

La présentation du film et l'animation après la projection sera assurée par Frédérick Lambot du CID-Inter J.

Nous serons heureux de vous y rencontrer! Rendez-vous à la Maison Paroissiale de Rochefort, rue de Behogne 45   le 11 avril prochain à 19h45.

Le recours.

Natagora, par l'intermédiaire du Comité Source Tridaine, a introduit un recours, en octobre 2013, contre le permis d'environnement de Lhoist, qui souhaitait procéder à des tests de pompage en vue de l'approfondissement de la carrière de la Boverie.

En effet, les recherches et réflexions du Comité lui ont permis de fournir une argumentation sur le fait que le projet du carrier représente une MENACE … :

  • Pour l’écosystème de la Source de Tridaine, en ce compris des espèces de chauves-souris qui sont protégées au niveau européen,
  • Pour l’avenir de l’approvisionnement en eau de Rochefort et de l’Abbaye, qui pourrait être mis à mal par des altérations de nature karstique, pouvant provoquer des effondrements,
  • Pour la qualité de l’eau issue de l’aquifère du Gerny,
  • Pour les perturbations hydrogéologiques que des pompages profonds vont irrémédiablement occasionner au sein de la nappe,
  • L'augmentation de la vulnérabilité de la nappe aquifère face à diverses sources de pollutions, en raison de l'augmentation des sources de pollution par les pompages et leur mise en place,
  • le stress hydrique provoqué par un abaissement de la nappe sur tout l'écosystème situé au droit de celle-ci,
  • Pour le patrimoine de la brasserie Trappiste,
  • Pour l’environnement de la zone de la carrière, notamment des sites classés en SGIB (Site de Grand Intérêt Biologique), en réserve naturelle, ou proposé en Natura 2000,
  • Pour le développement durable, au vu de la dépense énergétique nécessaire au projet.

Pour parvenir à son argumentation, les membres du Comité ont fait appel à toutes les ressources dont ils disposaient :

  • l’étude de faisabilité du projet, des articles scientifiques sur la géologie de la région,
  • l’avis du géologue de Lhoist,
  • l’avis du géologue de l’Abbaye,
  • des avis de spécialistes sur la biodiversité de la zone,
  • des avis juridiques (d’Inter Environnement Wallonie entre autres),
  • les bases de données en ligne du Service Public de Wallonie (cartographie, biodiversité, statuts de protection, Natura 2000, karsts, etc),
  • des données techniques du service de gestion de la distribution publique au niveau de la commune de Rochefort,
  • l'avis du bourgmestre,
  • l'avis de la locale Ecolo de Rochefort,
  • des avis émis par des instances consultatives (Conseil supérieur de la Conservation de la Nature) sans oublier
  • la soirée d’information organisée par l’Abbaye,
  • la visite de la Carrière organisée par Lhoist,
  • le site internet du projet de Lhoist,
  • le site internet "Sauvez la Tridaine", de l'Abbaye, etc.

Bref, les avis de toutes les parties ont été collectés et un dialogue a eu lieu avec les parties en présence, qui n’ont pas rechigné à répondre à ses questions.

A la suite de l’introduction du recours, le Comité a en outre rencontré la direction de Lhoist pour discuter de la teneur du recours, de même que les syndicats des travailleurs de l’entreprise ; il a également été reçu par le Cabinet du ministre en charge de l’Environnement, Philippe Henry, en la personne de son chef de cabinet adjoint, Hubert Bedoret, et en présence du président du Parlement wallon, Patrick Dupriez, et de notre conseillère communale Marie Lecocq ; il lui a également été donné de rencontré la fonctionnaire technique compétente sur recours, qui devait remettre un rapport de synthèse au ministre, énonçant un nouvel avis sur la délivrance du permis, en fonction des recours introduits.

Une visite d’une partie de la Brasserie, du captage et de la grotte de Tridaine a également eu lieu en sa compagnie.

D'autres rencontres sont encore prévues, au niveau des politiques, de l'Abbaye, des syndicats...

Le 31 janvier 2014, le Ministre s'est prononcé contre le permis d'environnement, en suivant l'avis du fonctionnaire technique compétent sur recours.

Selon la RTBF, "pour le ministre, rien ne permet à l’heure actuelle de garantir que les projets du groupe carrier n’auront pas d’impact sur la qualité de l’eau et sur l’approvisionnement. Philippe Henry invoque aussi une convention de 2008 signée entre la ville de Rochefort, l’abbaye et le groupe Lhoist. Ce texte stipule que tout approfondissement de la carrière doit recevoir l’assentiment des trois parties, ce qui n’est pas le cas."

Et maintenant ?

En ce qui concerne Lhoist, "l'entreprise n'en restera sans doute pas là, mais elle ne prendra pas de décision sur un éventuel recours avant d'avoir examiné les motivations du refus ministériel". Si le carrier introduit un recours au Conseil d'Etat, il peut encore réussir à obtenir son permis.

Il s’agit donc d’un travail de longue haleine, et il s'agit à présent planifier ses prochaines actions en compagnie des citoyens, afin de les informer, de les sensibiliser, de les réunir !

Le Comité, en ce compris Natagora Famenne, a organisé en octobre 2013 une soirée d'information pour expliquer aux citoyens le recours qu'ils avaient introduit.

La dernière action en date : la promotion de la chanson des Samouraïs de l’eau : « Touche pas à la Tridaine », composée et enregistrée par des jeunes chanteurs de Rochefort, Thibaut, Benjamin et Frédéric, les "Samouraïs de l'Eau". Ils ont réuni des amis et des citoyens fin janvier pour tourner un clip de la chanson, afin de le diffuser sur internet.

Dans l’état actuel des choses, le carrier dispose d’une autorisation jusqu’en 2023, et s’est engagé, par l’intermédiaire d’une convention signée avec l’Abbaye et la Ville de Rochefort, à ne pas exploiter sous l’altitude de 220 mètres.

Affaire à suivre ! ... ... sur www.facebook.com/ComiteTridaine

Le groupe carrier Lhoist Industrie a remis une demande de permis d’urbanisme pour le creusement de puits et de piezomètres en périphérie de sa carrière de la Boverie à Rochefort et Marche-en-Famenne.Ceci constituerait une première étape dans son projet d’approfondissement de la carrière actuelle.

Pour exploiter des veines de calcaire particulièrement pur, le carrier veut creuser plus profondément que la nappe aquifère alimentant la source de la Tridaine. Pour cela, il pomperait l’eau de la nappe via ses puits et la réinjecterait à la sortie de la source de Tridaine.

Pour ce faire, il creuserait des tranchées en site Natura 2000, en réserve naturelle et en site de grand intérêt biologique (SGIB 40 Abbaye Saint Remy).

Les conséquences de ces travaux seraient nombreuses.

D’abord le tarissement de l’émergence naturelle de la source de Tridaine et son remplacement par de l’eau pompée qui ne peut être garantie en qualité et quantité au même titre que la source actuelle. D’où des problèmes potentiels pour la confection de la Trappiste et pour le ravitaillement en eau de Rochefort.

Ensuite, des conséquences au niveau de la biodiversité car la source actuelle est d’une pureté exceptionnelle. La faune et la flore de la source en elle-même mais également des étangs alimentés par son trop-plein pourraient être endommagées.

Les travaux de creusement d’une tranchée dans la réserve naturelle Léon Lhoist-Saint Remy auraient certainement des conséquences néfastes importantes pour la flore remarquable du site. Ce sont des écosystèmes actuellement en équilibre qui seraient gravement perturbés.

Et enfin, l’eau pompée par Lhoist Industrie le serait à grand renfort d’énergie (électricité) alors que la source actuelle coule gravitairement. Dans le monde actuel où les économies d’énergie sont un défi de taille et incontournable, cette solution nous paraît inacceptable.

Au vu de tout ceci, nous avons décidé de remettre une lettre de protestation contre ce projet du carrier Lhoist à la Ville de Rochefort durant la période de l’enquête publique qui s’est terminée ce premier juillet. Et il semble bien que nombre de nos concitoyens aient fait de même. Nous vous remettons ci-dessous copie de notre lettre.

Pour plus d’information à ce sujet, vous pouvez consulter le site de l’Abbaye Saint Remy : www.tridaine.be

Nous vous tiendrons informés du suivi de ce dossier car il est à craindre que les partisans de la source n’aient gagné qu’une petite bataille et pas la guerre.  

Partager sur :Email

Soutenez Natagora

Vous aimez la nature ? Aidez-la !

Participez avec Natagora à la préservation de l’environnement en Wallonie et à Bruxelles. Apportez votre voix à la nature en devenant membre de Natagora et soutenez activement nos actions en rejoignant notre groupe de volontaires.
 

JE DEVIENS MEMBREJE VOUS REJOINS

Faire un don

Vos dons rendent possibles toutes les actions de notre groupe de volontaires en faveur de la biodiversité. Déductibilité fiscale à partir de 40 € de dons par an.

JE PARTICIPE